Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Une nouvelle vie à Washington
30 août 2012

Au pays de Buffalo Bill

Après 3 jours passés à explorer les coins et recoins du Parc national des Montagnes rocheuses, cap sur le parc mythique : Yellowstone.

172Seulement entre les Rockies et Yellowstone il a à peu près 1000 kilomètres, donc décision est prise de faire la route en deux étapes.Après un dernier col, nous disons au revoir aux montagnes et commençons à aborder les grandes plaines du Wyoming.

Et c’est là que le choc de l’Ouest commence !

Des routes qui s’étirent à perte de vue avec de chaque côté les clôtures des ranchs ou mieux encore dans les secteurs « d’open range », des panneaux « Danger, troupeaux sur la route ».

Une voiture croisée de temps en temps et parfois une intersection qui regroupe une station essence, un motel, une auberge et trois maisons perdues au milieu de nul part.

Après avoir roulé une matinée entière dans ce décor, nous arrivons dans la petite ville de Saratoga et là encore le choc. Elle semble176 tout droit sortie d’un western avec son unique rue et les porches en bois des magasins. Nous en traverserons comme ça des dizaines !

Une autre petite ville nous offrira en fin de journée  un hébergement pour la nuit.

En repartant le lendemain matin, nous comptons bien arriver aux portes du Yellowstone dans l’après-midi.

Mais là, coup de cœur. Nous arrivons à Coddy en fin de matinée et Coddy c’est….la ville de Buffalo Bill. Là encore une rue principale bordée de maisons en bois, mais surtout un incroyable musée de l’Ouest américain possédant une collection d’armes extraordinaires, des collections relatives à la vie des indiens incomparables, une section présentant le Yellowstone avec une scénographie étonnante et bien sur une autre racontant la vie et l’œuvre du Grand Homme. Bref nous y passerons la journée.

Pour la première fois, nous verrons l’affiche « Déposez vos armes à l’entrée » sur la porte du musée. Ce ne sera pas la dernière !

229Et pour couronner le tout en fin de soirée, un rodéo, un vrai, pas un rodéo d’opérette, non, un rodéo avec des cavaliers qui se relèvent un boitant et des notateurs qui scrutent leurs performances, avec en ouverture l’hymne américain repris à l’unisson par toute l’assistance débout, la main sur le cœur.

Voilà qui valait bien de faire une halte imprévue.

Publicité
Publicité
Commentaires
Une nouvelle vie à Washington
Publicité
Archives
Une nouvelle vie à Washington
Publicité